C’est en 1790 que Christian Samuel Hahnemann, médecin allemand, a jeté les bases de l’homéopathie.
Au cours d’une de ses expériences il s’aperçut d’un curieux phénomène pharmacologique : toute substance susceptible de provoquer des symptômes sur des personnes en bonne santé est capable de guérir les mêmes symptômes chez les personnes malades.
« Le poison qui guérit »…
Hanhemann eut ensuite l’idée, afin d’atténuer la toxicité des substances utilisées, de les diluer.
Il découvrit ainsi l’action de l’infinitésimal, second principe de l’homéopathie. L’extrême dilution augmente la puissance d’action des médicaments homéopathiques, du moins de ceux qui sont bien adaptés au cas des patients (de l’utilité du long interrogatoire préalable lors de la première visite chez un médecin homéopathe).
L’homéopathie est utilisée par 30% de la population mondiale. Elle jouit d’une indéniable popularité et commence à faire ses preuves sur le plan scientifique.
L’homéopathie s’adresse principalement aux maladies fonctionnelles, maladies dans lesquelles les organes ne donnent pas la plénitude de leur action, sans pour autant être endommagés.